|
Résumé :
|
Etrange paradoxe: Ce n'est pas au Guatemala mais à Paris que fut écrit, entre 1925 et 1932, Monsieur le Président, l'exemple le plus spectaculaire, et le plus représentatif, des lettres non seulement guatémaltèques mais hispano-américaines. Politiquement, socialement, littérairement, Monsieur le Président exprime admirablement la pensée, l'idéologie de Miguel Angel Asturias. Ce roman est en effet la peinture d'une dictature en Amérique centrale, celle du sisnistre et solitaire Estrada Caberra, Figure historique (et qui devient mythique) du Guatemala au début de ce siécle.
|